Je ne sais pas si l'info est déjà passée, mais le PureTech 225 s'accompagne d'une vraie double sortie d'échappement.
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Je ne sais pas si l'info est déjà passée, mais le PureTech 225 s'accompagne d'une vraie double sortie d'échappement.
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Cool ca va fumer 2 fois plus
Envoyé de mon SM-G935F en utilisant Tapatalk
Merci @totox
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Ils se permettent tout ces Köbi...
En voiture privée sur le Ricard, non mais...
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Jolie photos @totox !![]()
alors ça freine bien les bandes du Castellet?201 dans la mistral?
En warning, il faisait la safety car, trop fort totox!
3 ou 4 fois que je vais au Paul Ricard depuis la livraison de cette belle auto ...........
Et jamais vudans le parking "spécial" et encore moins sur la piste
Peut être la prochaine fois![]()
Tu ne l as pas vu au gp camion?
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LE DS 7 CROSSBACK ENTRE À L’AMBASSADE DE LONDRES
En matière de DS 7 Crossback officiels, on connaissait celui du Président Macron. Voici maintenant venir ceux des ambassades de France à commencer par celle du Royaume-Uni à Londres. L’ambassadeur Jean-Pierre Jouyet a en effet pris réception de son modèle tout récemment.
Un DS 7 Crossback essence pour représenter la France
Le choix s’est porté sur la version la plus haut-de-gamme du DS 7 Crossback à l’heure actuelle. Rien d’étonnant à cela, l’ambition du véhicule étant en grande partie de véhiculer l’image de la France.C’est donc une version Ultra Prestige (degré qu’on appelle dorénavant « Grand chic » chez nous), en teinte Bleu encre et intérieur « Inspiration DS Opéra noir art basalte » (à 6300 euros au tarif français), le tout assorti du bloc PureTech 225 essence, le plus puissant de la gamme actuellement. Une belle configuration qui s’accompagne des jantes Tokyo 20 pouces diamantées (3270 euros au tarif français), des projecteurs 100% Led, ou encore des barres de toit alu.
A bord, tout le confort du nouveau SUV DS, essayé l’hiver dernier en BlueHDi 180 à ce lien, est au rendez-vous. On parle de la présence de la suspension DS Active Scan à lecture optique de la route, qui grâce à la caméra frontale scanne la route et adapte en direct le tarage des suspensions en journée. Mais aussi de la banquette arrière à angle d’assise électriquement ajustable ou encore de la sono Focal Electra. Une très belle dotation donc qui fait fleurter ce SUV avec les 60.000 euros.En plus de la voiture, il faut voir l’immatriculation du DS 7 Crossback : FRA 1, une immatriculation unique qui a, elle aussi, dû être monnayée auprès des autorités britanniques. Mais qu’importe : avec ce DS 7 qui ressemble comme deux gouttes d’eau à celui de l’investiture d’Emmanuel Macron, DS s’offre un coup de com pour le lancement de son SUV outre-Manche.
Londres et le DS 7 Crossback : une histoire à réparer
Installer l’image d’un DS 7 prestigieux, assumé et choisi comme « produit français », tout cela suit la stratégie d’image de DS Automobiles. Cependant, au Royaume-Uni, ils doivent aussi se racheter une image depuis que Jeremy Clarkson, le présentateur de The Grand Tour, a fait l’essai du modèle et est… tombé en panne. En plein tournage, la voiture a dû s’arrêter ! Un problème de batterie apparemment.
Cela ne l’a cependant pas empêché de signer un autre essai (à ce lien) où il dit que la voiture est « attachante », mais aussi « très chère » et qu’il n’est pas certain que les clients recherchent vraiment ce que la voiture propose. A suivre donc.Haut-de-gamme français et ambassades : une longue histoire d’amour
Les ambassades de France, qui sont pour notre pays l’un des réseaux diplomatiques les plus développés au monde, sont souvent dotées de véhicules de prestige. Ainsi, lors de vos voyages à l’étranger, vous pouvez être sûrs de croiser aux alentours de belles Citroën C6, encore quelques 607 ou des C5, ainsi que des Talisman. Parfois, il s’agit même du seul endroit du pays où l’on peut voir ces modèles (lorsqu’ils y sont homologués)… Comme ici à Stockholm, à deux pas de l’ambassade de France en Suède, donc.
Source : TA
Essai DS7 Crossback PureTech 225 : le test du DS7 essence
Le DS7 Crossback est à l'essai avec son moteur essence de 225 ch.
Equipé du quatre cylindres à essence 1.6 de 225 ch, le DS7 hausse son agrément de conduite. Sa consommation maîtrisée permettra à beaucoup de se passer du diesel. Voici notre essai du DS7 PureTech 225 avec la finition Performance Line +.
Voiture à l'essai : DS DS 7 Crossback PureTech 225 ch EAT8 Performance Line +
- Moteur Essence | Puissance : 225 ch
- Lancement : octobre 2017
- Voir la fiche technique
À partir de
46 200 €
613 € de malus
PAGE 1Essai DS7 Crossback PureTech 225 : le test du DS7 essence
Depuis l’ouverture des commandes du nouveau DS7 Crossback, la marque a enregistré 40 % de demandes pour la version à essence. Un chiffre élevé pour un SUV de cette taille et une part inimaginable il y a encore un an. Un seul moteur essence est disponible dans la gamme DS7 pour les particuliers, en l’occurrence ce 1.6 PureTech dont la puissance est portée à 225 ch. A propos de commandes, la marque annonce conquérir 76 % de nouveaux clients avec le DS7, dont la moitié est issue d’autres marques premiums. Le prix moyen facturé est de 48 000 €, cela correspond à peu près à notre version d’essai : DS7 PureTech 225 Performance Line + (46 200 €) avec la peinture métallisée (1 000 €) et le toit ouvrant panoramique (1 450 €).
La finition Performance Line se distingue notamment par sa calandre noire à la place du chrome et ses jantes Beijing de 19 pouces.
DS7 Crossback Performance Line +
DS7 Crossback Performance Line +
Au volant du DS7 Crossback PureTech 225
Comme Citroën et Peugeot, la jeune marque DS puise chez PSA les organes mécaniques qui équipent ses voitures. Sur l’étagère des moteurs à essence, il n’y a plus de bloc de cylindrée confortable, type 2.0, comme ce que proposent les marques allemandes. Le moteur le plus musclé est le 1.6 THP, ici rebaptisé PureTech et recalibré à 225 ch et 300 Nm. Il est n’accouplé qu’avec la nouvelle boîte automatique EAT8 et il transmet sa puissance aux roues avant.
Pas de bruit, pas de vibrations, pas de grondement, ce moteur à essence apporte de la quiétude à bord et cela est en accord avec l’habitacle très cocon du DS7. Les évolutions à basse vitesse sont un plaisir et la boîte EAT8 opère les changements de rapports sans que l’on pense à elle. Seul, le petit soubresaut du Stop&Start rappelle qu’un moteur thermique propulse la voiture.
En empruntant la route et l’autoroute, la bonne surprise se poursuit. Le PureTech 225 fait preuve d’un bon répondant grâce à son couple maxi disponible dès le bas du compte-tours (1 900 tr/min). Surtout, l’agrément de conduite est supérieur à celui de la version diesel grâce à la sensation de légèreté ressentie au volant. Le train avant est plus réactif, le moteur s’exprime sans retenue et les accélérations sont vives. Le DS7 profite là des efforts portés sur sa masse, avec une valeur à vide annoncée à 1 425 kg. D’ailleurs, on souhaite bon courage à DS pour égaler cet agrément de conduite avec la future version hybride rechargeable E-Tense qui embarquera 300 kg de batteries et de machinerie électrique. Réponse mi-2019, lors du lancement de cette version.
En dépit de sa vigueur, il manque une pointe de tempérament à ce moteur Puretech 225 pour totalement convaincre. Ses accélérations sont assez linéaires, son énergie s’étouffe au-delà de 5 000 tr/min et sa sonorité est quelconque. En activant le mode Sport, il gagne un peu de punch mais sa sonorité artificielle, diffusée par les haut-parleurs, manque vraiment d’authenticité. Il est donc préférable de rester en mode Confort, surtout que ce dernier permet de bénéficier d’une des innovations du DS7 Crossback : la suspension active avec lecture de la chaussée par scanner (option à 1 100 € sur cette version). C’est dans ce mode que l’on profite le plus de ce haut de gamme français, dont le touché de route est alors moelleux pour un SUV.
“C'est avec le mode Confort que le DS7 délivre ses meilleures prestations, à condition d'avoir coché l'option suspension active“
Si le DS7 se mène du bout des doigts sur la route, sa largeur généreuse (1,90 m) le rend un peu gauche dans les parkings et les ruelles. La consommation est la dernière bonne surprise à l’issue de notre test routier : 8,1 l/100 km après 171 kilomètres de test routier composé à 70 % de routes secondaires et 30 % d’autoroute. Une valeur obtenue avec une conduite normale, mais sans traîner non plus. Un autre test, uniquement autoroutier, s’est soldé par 9,0 l/100 km. Comme toujours, ces valeurs sont loin des chiffres homologuées, mais elles sont toutefois appréciables pour un SUV essence de 225 ch à boîte automatique.
A bord du DS7 Performance Line +
Sièges Sport, panneaux de portes et planche de bord sont partiellement recouverts d'Alcantara dans cette finition. Avec les badges Performance Line, l'ensemble compose une présentation soignée et sportive. Il y a une seule prise USB à l'avant, insuffisant.
Un combiné d'instrumentation numérique, mais pas d'affichage tête haute dans le DS7. Ses concurrents ne font pas cet oubli.
L'écran tactile de 8 pouces et les touches sensitives participent au spectacle. Le GPS s'est parfois montré fantaisiste.
Détail chic de cette finition Performance Line + : la montre B.R.M qui trône au sommet de la planche de bord.
Il y a bien des palettes au volant, mais on ne s'en sert quasiment pas tant la boîte automatique réagit bien.
En livrée Performance Line +, le dossier de la banquette s'incline électriquement.
Très bon confort avec ces sièges avant pourvus de réglages de la longueur d'assise.
Prix et concurrence DS7 PureTech 225
A cheval entre deux segments, le DS7 Crossback PureTech 225 est cerné par le BMW X1 xDrive 25i de 231ch (49 250 € en Xline) et le Volvo XC60 T5 AWD 250 ch (55 760 € en R-Design). Mais le premier concurrent de ce DS7 essence sera la version diesel 180 ch équipée elle aussi de la boîte EAT8. Elle est vendue au même prix à finition égale. Les différences viennent du malus écologique, de la fiscalité et des consommations en faveur du diesel et des performances en faveur de l’essence (lire ci-dessous). Après l’essai, on ajoutera l’agrément de conduite supérieur en PureTech 225.
* En Performance Line + ** valeurs d'homologation
DS7 BlueHDI 180 DS7 PureTech 225 Prix* 46 200 € 46 200 € Malus aucun 613 € Puisance fiscale 9 CV 13 CV Puissance 180 ch 225 ch Couple 400 Nm 300 Nm Poids à vide 1 535 1 425 0 à 100 km/h 9,4 s 8,2 s Vitesse maxi 215 km/h 234 km/h Conso mixte ** 4,9 l/100 km 5,9 l/100 km
Bilan essai DS7 Crossback PureTech 225
Deux bonnes nouvelles à l’issue de cet essai. La finition Performance Line sied bien au DS7 Crossback : moins de chromes, aspect moins ostentatoire et un habitacle superbement habillé d’Alcantara. Le moteur PureTech 225 est convaincant : il offre plus de vigueur et d’agrément que le diesel et il sait rester sobre. Si vous n’êtes pas un gros rouleur, c’est le moteur à privilégier. Et puis, quitte à goûter au haut de gamme français, autant le faire avec la douceur d’un moteur à essence. C’est plus chic.
On aime
- Agrément de conduite/Performances
- Masse et consommation maîtrisées
- Présentation de l’habitacle
On regrette
- Tempérament moteur un peu effacé
- Une seule prise USB à l’avant / Options nombreuses
- Affichage tête haute indisponible
Dimensions DS7 PureTech 225
Longueur : 4,57 m
Largeur : 1,90 m
Hauteur : 1,63 m
Empattement : 2,74 m
Garde au sol : 19 cm
Volume du coffre : de 555 à 1 752 l
Capacité du réservoir : 62 l
Pneumatiques : 235/50 R19
Roue de secours : non, kit de réparation
Poids à vide: 1 425 kg
Technique DS7 PureTech 225Moteur : Essence, 4 cylindres turbo
Cylindrée : 1 598 cm3
Puissance : 225 ch à 5 500 tr/min
Couple : 300 Nm à 1 900 tr/min
Transmission : aux roues avant
Boîte de vitesses : automatique, 8 rapports
Performances DS7 PureTech 225
0 à 100 km/h : 8,2 s
Vitesse maximale : 234 km/h
Consommations/CO2* DS7 PureTech 225
Ville : 7,5 l/100 km
Route : 5,0 l/100 km
Mixte: 5,9 l/100 km
Rejets de CO 2: 135 g/km
Malus écologique : 613 €
(*) Valeurs d’homologation
Fiscalité/Garantie DS7 PureTech 225
Puissance fiscale : 13 CV
Garantie : 2 ans, kilométrage illimité
DS7 Crossback PureTech 225 Performance Line : 42 400 €
Equipement de série
- Six airbags. Alerte de franchissement de ligne.
- Instrumentation numérique sur dalle de 12 pouces.
- Ecran tactile central de 8 pouces.
- Navigation GPS. Climatisation auto 2 zones. Radar de recul.
- Système audio 8 HP. Bluetooth. 1 Prise USB à l’avant.
- Planche de bord et sellerie Alcantara
- Banquette 60/40. 2 prises USB à l’arrière.
- Phares xénon. Vitrage arrière surteinté.
- Calandre noire et badges Performance Line.
- Jantes en alliage Beijing de 19 pouces.
DS7 Crossback PureTech 225 Performance Line + : 46 200 €
En plus
- Accès et démarrage mains libres. Montre B.R.M.
- Radar de stationnement avant. Caméra de recul.
- Chargeur de smartphone sans fil.
- Sièges avant électriques.
- Siège conducteur à réglages lombaires.
- Banquette inclinable électriquement. Accoudoir arrière.
- Hayon de coffre motorisé.
- Rétroviseurs extérieurs rabattables électriquement.
- Phares à LED Vision. Barres de toit en aluminium.
Options DS7 Crossback
- Peinture métallisée : 1 000 €
- Eclairage d’ambiance intégral à LED : 200 €
- Suspension active avec scan de la route : 1 100 €
- Système audio Focal : 1 000 €
- Sièges avant chauffants : 550 €
- Vision de nuit : 1 250 €
- Toit ouvrant panoramique : 1 450 €
- DS Connect Pilot : 2 400 €
- Attelage escamotable : 950 €
Lire la suite: http://www.largus.fr/actualite-autom...#ixzz5GatD4LTW
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belles photos @totox
elle est magnifique en blanc nacré
bon oui mon avis n'est pas objectif l'ayant de cette couleur
Dernière édition par Géraldine; 29/05/2018 à 21:55
Si tu regardes bien sur le configurateur, quand tu passes d’une motorisation essence à diesel, tu vous un changement sur les échappements : en diesel, on devine le cache plastique qui bouche les sorties factices, sur les essences (180 ou 225), tu ne vois que l’entourage chromé![]()
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